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Quand
Samedi 23 novembre 2013

Entre posture et imposture, le sexe est-il garant d'une vérité ? La vérité ne se présente pas. Par nature elle se dérobe et se représente à l'occasion : dans l'art et les récits notamment. Cette représentation a toujours une dimension de semblant. Et c'est parce qu'ils savent jouer de ce semblant que les mythes, les images ou le langage ordinaire peuvent parfois nous mettre à l'épreuve de la vérité. Ce jeu de la vérité et du semblant appelle donc nécessairement la figure de l'imposteur tout comme la fascination qu'elle exerce (voir Tartuffe). Notre actualité souhaite toujours plus de transparence et favorise en même temps l'écran généralisé. Comment se présente alors pour nous le jeu de la vérité ? Nous évoquerons cette question avec quelques invités dont elle concerna aussi directement la pratique. Nous présentons ici des extraits de la Journée : une scène de Tartuffe jouée par Anne Azoulay et Bernard Bloch, suivie de l'intervention d'Alice Massat « L'insu que c'est de l'imposture », ainsi que les réflexions et questions Charles Melman relatives à cette partie de la journée. D'autres extraits paraîtront ultérieurement sur le site.

>>1er extrait de la journée sur l'imposture : Alice Massat et Ch. Melman

>> 2ème extrait de la journée sur l'imposture : interventions d'Eriko Thibierge-Nasu et Stéphane Thibierge

Notes