Notre précédent numéro était consacré au dispositif et à la structure de la présentation de malade. Il en rappelait la grande valeur heuristique et clinique en psychanalyse et en psychiatrie.
Celui-ci précise la pratique concrète de la présentation, et aussi le travail de lecture qu’elle rend possible dans l’après-coup.
Nous publions à cette fin, en tout ou partie, des présentations de styles différents, en éclairant ce qu’elles interrogent et mettent au travail, chacune de façon singulière : soit dans le cours même de l’entretien, à travers le questionnement de celui qui interroge ; soit dans la reprise d’un cas déjà présenté.
C’est donc sur le travail d’élaboration et de lecture que permet la présentation, au moment où elle se réalise comme dans l’après-coup de son acte, que porte l’accent de ce deuxième tour.