Les techniques de numérisation ont considérablement repoussé les limites du possible, cette catégorie finissant toujours par inclure celle de la morale. Celle-ci ne relève plus ainsi de la transmission d’un savoir collectif arrêté, mais d’algorithmes variables, renouvelables et éventuellement individuels.
L’effet en est lisible avec la récusation des valeurs et des idéaux qui étaient coutumiers et partagés au profit d’une « liberté » dont l’application va s’avérer pas moins contraignante mais différemment.
Cette « liberté » laisse-t-elle une place qui puisse se partager pour qu’on en parle sans se séparer ?