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Parutions
Claude Landman, Stéphane Thibierge
Dans une fable tragi-comique des silhouettes coulées dans les « digressions de l’existence » mêlant leur voix embrassent les impasses d’une humanité prisonnière des répétitions de l’Histoire. Actrices d’une paranoïa contemporaine généralisée, balancées entre le meurtre et l’oubli, le sexe et la fondation, elles traversent les drames comme en rêve, sans autre prise que la chair. Comment faire encore avec les vieilles images des livres ? Que reste-t-il à raconter ? Quelle dernière fiction inventer pour contrer notre désir de destruction?
Pris dans les images, les vitrines, les bruits de mitraillette, l’homme a perdu la légende. On s’abandonne toujours brièvement dans le corps de l’autre, en dernière consolation. On se souvient de l’odeur de la détresse, car au fond, « c’est soi qu’on aime, c’est soi qu’on tue ».
Esther Tellermann, dans ce livre fulgurant, nous demande comment infléchir cette première version du monde, hors de la répétition du même, de notre « acharnement à disparaître ».
2018, 148 p., 9782877041935, 20 €
A retrouver sur le site des éditions Unes